J'ai perdu mon corps

A Paris, Naoufel tombe amoureux de Gabrielle. Un peu plus loin dans la ville, une main coupée s'échappe d'un labo, bien décidée à retrouver son corps. S'engage alors une cavale vertigineuse à travers la ville, semée d'embûches et des souvenirs de sa vie jusqu'au terrible accident. Naoufel, la main, Gabrielle, tous trois retrouveront, d'une façon poétique et inattendue, le fil de leur histoire

Bonus : Making of, bande-annonce. Mots-clefs : Romance, Main, Quête, Aventure. Récompenses : Prix de la critique et Prix du public au COLCOA Film Festival, Etats-Unis, 2019 Cristal du long métrage et Prix du public au Festival du film d'animation d'Annecy, France, 2019 Grand prix de la Semaine de la critique au Festival de Cannes, France, 2019 Prix Lumière du meilleur film d'animation, France, 2020 César du meilleur long métrage d'animation et de la meilleure musique originale, France, 202. Critique presse : "Une histoire incroyable, extraordinaire, fantastique, comme on rêverait que le cinéma d'animation en fasse souvent : avec une infinie tendresse et délicatesse, avec une immense conséquence et intelligence." Dernières Nouvelles d'Alsace - Nathalie Chifflet "Jérémy Clapin signe un superbe long-métrage, qui fait se rencontrer, avec une remarquable fluidité, le fantastique et la chronique réaliste." Le Figaro - Etienne Sorin "C'est bien simple : on n'a pas vu une mise en scène aussi racée dans le cinéma français depuis Jacques Audiard. A l'instar des films d'animation japonais pour adultes, "J'ai perdu mon corps" place la barre très haut à tous les niveaux." Première - Christophe Narbonne "Il faut peu de temps pour percevoir l'originalité prometteuse de "J'ai perdu mon corps", et à peine plus pour comprendre que le premier long métrage de Jérémy Clapin ouvre une voie passionnante." Cahiers du Cinéma - Florence Maillard "Cette complexité du récit et des situations est rendue limpide par la beauté que Jérémy Clapin donne à des paysages généralement peu propices à l'émotion. Les palettes (celle des séquences consacrées à la main n'est pas celle des flashback) sont économes, mais l'élégance des compositions et du trait, et la musique de Dan Levy leur confèrent une ampleur inattendue." Le Monde - Thomas Sotinel. Accord parental