Lorsque vous pénétrez dans une libraire japonaise, les œuvres sont rangées par genre dans les rayonnages :
[Gekiga] : littéralement «dessin dramatique», il est un peu l'équivalent du roman graphique pour les auteurs qui ne veulent pas être étiquetés comme mangaka. Ce terme créé par Tatsumi Yoshiro en 1957, contient l'idée de drame et de violence. Parmi les titres: Une vie dans les marges //[Jôsei] : destiné à un lectorat féminin adulte. Les intrigues y sont plus complexes que dans le Shôjo. Parmi les meilleurs titres: Solitude d'un autre genre //[Light Novel] : l'équivalent du roman de gare, destiné à un public de jeunes adultes. //[Seinen] : littéralement "jeune homme”, cible les jeunes adultes à partir de 15ans. Parmi les titres meilleurs mangas seinen: Pluto, Quartier lointain, Akira... //[Shônen] : vise essentiellement un public adolescent et masculin. C'est le genre le plus prolifique du manga. Le titre le plus emblématique est Dragon Ball. //[Shôjo] : littéralement "BD pour fille", souvent il s'agit de mangas qui racontent une histoire d'amour et qui abordent les sujets de prédilection des adolescentes: sport, lycée, musique.... En France l'un des grands succès Shôjo est Nana d'Ai Yazawa //[Hentai] : perversion, transformation... la traduction littérale suggère à peine que Hentaï désigne le genre des mangas à caractère pornographique.//
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